Les négociations entre institutions européennes, « trilogues », se sont principalement concentrées sur l’architecture verte, un sujet stratégique pour la filière maïs. Cinq réunions politiques sont à nouveau prévues jusqu’à fin mars pour avancer notamment sur ce volet. Alors que les débats sur l’architecture verte laissent entrevoir la possibilité d’une obligation de rotation à la parcelle, l’AGPM se mobilise sans relâche au côté du gouvernement pour la pérennité de la filière maïs française et la compétitivité de ses producteurs.
735 millions d’€ : C’est en effet le montant des pertes subies par les producteurs de maïs français si la rotation à la parcelle devenait obligatoire dans la prochaine PAC*.
* Sur la base de l’analyse Arvalis des données des RPG de 2015 à 2018 (hypothèse de 475 Kha de maïs perdus)