Suite à l’annonce de l’accord conclu entre la Commission Européenne et le Mercosur, le groupe « Agriculture et alimentation » du Sénat (rattaché à la Commission Économique) a souhaité auditionner les filières agricoles concernées le 17 juillet. C’est dans ce cadre que l’AGPM (représentée par Matthieu Çaldumbide) a été invitée à s’exprimer, afin d’une part de porter le contenu de l’accord à la connaissance des sénateurs, et d’autre part, de préciser l’analyse de la filière maïs sur les conséquences attendues.
C’était une nouvelle occasion de souligner les incohérences de l’UE, qui d’un côté interdit des technologies sur son territoire, et dans le même temps, s’empresse de signer des accords avec des pays où ces technologies sont largement utilisées.